[MILAN] Les larmes de la Diva {pv Jessica Guitton}

Jour Banal ? Non. Les vampires n'ont pas tout le temps une vie monotone. Il y a les petit plaisir du sang humain, si chaud et si sucré. Cela fesait longtemps que ce n'était pas arrivé. J'avais déscidé de ne put me privé. Après tout ce ne sont que de simple humain avec une durée de vie limité et puis, ils doivent bien mourrir un jour. C'est pareil si c'est maintenant ou dans dix ans.
Pour en revenir au début, il y avait aussi la traque quand on cour après notre chèr "repas". Avec moi sa ne marche pas toujours, les hommes sont attirés par ma beauté et sa devient lassant.
Bref, aujourd'hui c'était mon jour de rennaissance et je n'allai pas le gaché par des scrupules.
Depuis deux bonnes minutes je suivais un homme, il m'avait vu et avait peur. Malheureusement il avait tourné dans la mauvais rue, un cul de sac. Je m'approchais de plus en plus vite et la je vis dans ses yeux la peur, pas de pitié je plentais tout doucement mes crocs dans sa gorge et bu son sang par petite gorgé pour le faire encore plus souffrir. Les hommes m'avait tellement fais souffrir que je n'avais même plus de pitié pour eût.
Une fois fini mon repas je m'assurais que aucune goute de sang n'avait taché mes vêtements et partais cher moi. Une fois dans mon appartement, je pris une douche et me fesais belle. Je mettais une magnifique robe noir qui s'arrétais juste au dessus de mes genoux, au niveau du coeur il y avait une rose rouge. Cette robe était parfaite, comme faite juste pour moi. Enfin après mettre coiffé et mis un léger coup de crayon sous mes yeux je descendis et pris ma voiture. Je roulais vite dans ma volvo grise, je n'avais pas un long trajet à faire mais je tenais à avoir une place tout devant pour le spectacle de La Diva.
J'arrivais, je me garais juste devant la salle de spectacle. Il n'y avait que deux ou trois personnes. La porte ouvrait et je m'engoufrais dedans. Je pris place dans un siège au deuxième rang espérant que personne n'ayant un grosse choucroute se mette devant moi. La salle se remplissait peu à peu, le spectacle commençais et la salle était pleine. Je m'intéréssais guère au spectacle mais plutôt à un balcon, ce n'était pas un mais plutôt le balcon d'une mystérieuse personne qui apparament ne voulais pas se faire voir. A la fin une rose Noir se fit jetté du balcon. Elle attérit sur la scène et la Diva la ramassat, je vis sur ces joues des gouttes, elle pleurait. Je ne m'attardais pas et me levaispour sortir. Une fois dans le haull d'entrée je vis un porte qui apparament n'était pas réservé au personnel n'y au spectateur. Inconssiament je passais la porte et atterit dans un espèce de couloir qui était très long. J'avançais prudament et j'entendis des pas. Je m'arrétais imédiatement.
Quand je vis qui était la personne je ne me détendis pas, Aro Volturi en personne était devant moi et ne disait rien. J'engagais la conversation :
- Aro Volturi, quelle surprise ! Je ne m'attendais pas à rencontré une personne d'une telle envergure içi. Vous n'êtes pas accompagné de vos frères et votre garde ?!
Il ne disait toujours rien et quand je sondais son esprit je vis qu'il était étonné.
-Escusé mon impolitesse ! Je me présente, Jessica. Jessica Guitton. Je suis ravi de vous rencontré, je contais même vous rendre une petite visite, mais maintenant je n'en vois pas l'utilité vu que vous êtes la devant moi.
Un large sourire s'étirat sur ces lèvres.
Je rigolais intérieurement, "Préstation convaincante".

En effet,Aro sourit.À vrai dire,être ainsi importuné par une jeune vampire n'ayant nullement été invitée à le rejoindre,ni même à lui adresser la parole aurait dû lui laisser la plus désagréable première impression qui soit.Et oui,trois mille ans de progressive détérioration de la bienséance au sein de la société ne l'empêchait pas d'accorder énormément d'importance à la politesse ! Cependant,la brunette,visiblement peu encline à lâcher de sitôt le Volturi,commençait à jouer les admiratrices inconditionnelles,à l'instar de nombreux représentants de sa race ayant demandé audience en Italie,la bouche déjà pleine d'un babille obséquieux avant même d'avoir aperçut le souverain.Ce fut donc cela qui entraîna le geste bienveillant dont nous parlions tantôt : la visiteuse avait beau être particulièrement énergique -ce qui laissait présager un tempérament léger-,elle semblait malgré tout se sentir très honorée de pouvoir voler un ou deux instants à l'un des Princes de Volterra.De la pitié,en effet,cela pourrait s'appeler ainsi.Qui avait dit que régner sur la vaste communauté des Enfants de la Nuit s'avérait être une partie de plaisir sans fin...

-Je profitais solitairement des charmes de Milan... répondit posément le buveur ed sang,et dans son regard on put lire à quel point sa propre réponse l'amusait.

Un adverbe pour signifier son goût pour les rares épisodes de son existence où il pouvait se retrouver en tête-à-tête avec ses propres pensées,et un passé,pour mettre insidieusement en relief le fait que la demoiselle venait de mettre fin audit moment.Cependant,nulle colère,nul ressentiment dans la voix de l'italien.Une simple ironie,discrète,équivalent presque à un petit soupir.Regrettait-il de s'être arrêté,d'avoir -pire- engagé la discussion ? Voyons,à quoi cela servait,les regrets.Aro se trouvait doué,mais pas au point de remonter dans le temps pour s'éviter une fastidieuse conversation.Qui sait,cette jeune femme pouvait éventuellement se montrer aussi intéressante que cette chère Catalina...

-Mais je suis visiblement pas le seul.

Dans son dos,les cinq disciples que le bien né avait consenti à amener à sa suite à la Scala s'avancèrent,prêts à toute éventualité.Désir d'émancipation ne pouvait décemment rimer avec sécurité,si bien que la véritable répons eà la question de la vampire se trouvait négative : à l'instar des mafieux ne sortant jamais sans arme à feu,les superviseurs des consommateurs de sang humain ne pouvaient poser un pied en dehors de Volterra sans se connaître au moins deux ou trois hommes -ou femmes,n'oublions pas Jane !- de main ancrés à leurs pas,aux aguêts,formés pour réagir à la moindre menace,aussi suspecte ou légère soit-elle.Bien entendu,leur maître les avait sentis;tournant son fin visage vers eux,elur adressant à peine un coup d'oeil par dessus son épaule,Aro leur intima de les laisser dans un semblant d'intimité,sans s'éloigner de trop,et sans non plus leur imposer leur présence silencieuse.Il en revint par la suite à Jess.

-Ravi pourtant d'avoir donné satisfaction à votre curiosité.

Vu que sa soif paraissait avoir été assouvie... L'odeur de l'hémoglobine l'enveloppait,trop faible pour susciter la faim chez les délégation italienne,bien présente pourtant,assez pour que le Volturi la remarque.Pourtant,le sprunelles de miss Guitton ne possédait pas totalement la teinte rouge vif caractéristique des Immortels se nourrissant constamment de sang humain.Une végétarienne nouvellement reconvertie ? Qu'importait,ce qu'elle était.Le plus important se trouvait dans la suite des évènements qui peuplerait cette fin de soirée inédite.
D'un geste élégant du bras,le Volturi lui indiqua le chemin menant à une volée de marches s'enfonçant dans l'obscurité et donnant sur la rue.

-Avançons,voulez-vous...?

Ordre ? Proposition ? De toute manière,il faudrait bien qu'ils sortent du bâtiment un jour où l'autre.Que ce soit avec ou sans la brunette.

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