L'amie des cullen est en route pour une bien triste nouvelle [Ouvert à tous les Cullen]

La voila dans son ancienne maison, les anciens propriétaires avaient fait quelque rénovation qui ne lui déplaisaient pas ! La clôture commence de pierre sur environ 1 mètre puis du grillage qui montaient encore de 2 mètres avec un raccordement électrique. Peut être avait il eut des ennuis avec certaine bête !

A peine était elle installée, qu’elle prit l’une de ses bécanes et partie comme un boulet de canon, laissant à ses chiens la liberté de visiter leurs nouvelle maison. Elle se rappelait parfaitement de la route et elle y fit très vite, tournant à droite au dernier moment pour prendre un semblant de sentier. Elle était à la fois excitée de retrouver ses amis mais ce qu’elle allait devoir leurs apprendre était des plus douloureux, elle espérait aussi ne pas arriver trop tard, ça tombe ces monstres s’en étaient déjà pris à cette famille.

Arrivant devant la maison, elle s’aperçut qu’elle n’avait pas changé et l’odeur des Cullen était bien là, heureuse elle descendit de sa moto, enleva le casque et prit la direction de la porte, se recoiffant légèrement, replaçant sa robe, elle racla sa gorge pour qu’il puisse y sortir un mot. Puis elle sonna. Qui allait venir lui ouvrir ? Elle avait choisit la fin de journée pour être sur de tous les voir !

La belle Esmée ? L’amie avec qui elle sait toujours bien entendu, sa meilleure amie, oui elle pourrait l’appeler ainsi puisqu’elles s’étaient toujours bien entendu. Carlisle sont plus ancien et fidèle ami, celui qui a fait qu’ils avaient fait connaitre leurs deux familles. Alice, la pétillante jeune fille, aussi belle dedans que dehors et qui n’avait peur d’être vue comme Aby, Rosalie, ça m’étonnerait elle est si réservé, bien sur elle avait souvent parlé à Aby mais pas comme le faisait Alice ou Esmée, non s’était plus calme et moins long au regret de notre motarde. Jasper celui qui a le don de charme en plus de celui qu’on déjà les vampires mais comme Rosalie il était très timide envers Aby. Emmet lui était physiquement ce qu’Aby aimait chez un homme d’ailleurs Warren avait le physique d’Emmet, un peu moins musclé mais tout aussi impressionnant et puis niveau physique Aby aimait faire des bras de fer contre lui ne perdant pas de beaucoup, oui Aby adorait la compagnie de ce jeune mais aussi celle d’Edward, le plus beau de cette famille, celui avec qui elle aimait discuter pendant des heures, rire, écouter lorsqu’il joue du piano, faire la course au base ball.

Oui les Cullen sont des gens fantastique, tous aimé de notre Habygaelle, Warren aussi les adorait et ses enfants qui aimaient jouaient avec leurs grands frères et grandes sœurs comme ils le disaient si bien, quel choc cela va être de leurs annoncer la mort de son mari et de ses petits, la porte s’ouvrit enfin, Aby ne laissait rien paraitre sur son visage ni dans ses pensées pour qu’Edward ne puisse lire en elle et lui ouvrir la porte en larme.

Ce fut Edward qui lui ouvrit, à son visage elle vit qu’il n’avait pas vu ses pensées avant qu’elle n’arrive. Il était toujours aussi beau, un sourire magnifique, une carrure parfaite, oui il était sans contexte le plus beau de cette famille, sans qu’elle n’eut le temps de faire plus, il l’a saisit par la main et l’emmena dans le salon. Il était seul apparemment, elle s’assit près de lui sur le divan. Il n’y avait pas grand-chose de changé dans la maison, elle reconnaissait le gout de son amie pour les arts.

Ta mère à toujours aussi bon gout en décoration dit moi, votre maison est toujours aussi belle et aussi accueillante. Je viens pour vous dire bonjour, je n’en ai pas le droit ?

Elle lui sourit de plus belle, puis elle humait l’air, Emmet et Rosalie, Alice et Jasper, Carlisle et Esmée, mais deux odeurs dont elle ne connaissait pas les porteurs, oui il y avait deux odeurs partout dans la maison et encore plus présente sur Edward ! Elle s’approchait de son ami, pour bien les identifier. C’était deux femmes, ou plutôt une fille et une femme, elle se recula alors pour mieux le voir, cette fois son sourire était réel, elle lui répondit avec joie.

Edward, tu as trouvé ton âme sœur ? Tu as une petite fille ! Ces odeurs sur toi, dit moi que tu as enfin trouvé ton bonheur et l’amour que ton père te souhaite depuis des années ! Parle-moi d’elle !

Elle était si heureuse pour lui, lui qui pendant des années, était resté seule alors que tous étaient en couple, Haby avait même mal au cœur lorsqu’elle le voyait mais adoré parler avec lui, il ne cherchait pas après une femelle, elle se souvient qu’il lui avait tenu se discourt et maintenant elle le retrouvait là, papa, enfin ça elle n’en était pas encore sur…

Edward n’avait pas eut le temps de lui répondre, qu’une personne entrait dans le salon à toute vitesse, ce fut Alice, celle qui se rapprochait le plus d’Haby, souriante, toujours speed, elle s’assit de suite près d’elle pour son plus, grand bonheur, ainsi elle n’avait pas vu ce qui lui était arrivé et ça, ça plaisait à Haby, elle venait pourtant de poser une question « ou est Warren ? » comment répondre, elle n’en eut pas besoin car une autre personne fit son entrée dans le salon.

Rosalie, alors qu’elle aurait du être contente de la voir, Haby découvrit sur son visage qu’elle était inquiète, pourquoi ? Pourquoi ce regard sur elle, Rosalie n’avait pas de pouvoir mais il ne lui en fallait certainement pas pour voir le visage d’Haby moins souriant que d’habitude ! Haby se leva, puis serra Rosalie dans ses bras.

Ah Rosalie, n’es tu pas contente de me voir ? Cela fait si longtemps !

Elle prit une grande respiration.

Emmet est toujours avec toi à ce que je sens, mais il y a une nouvelle fois cette odeur de petite fille ! Va-t-on enfin me dire à qui appartient ce petit ange ! Elle est sur tout le monde !

Haby essayait de changer son visage affichant un sourire bien plus grand à présent, après avoir lâché son étreinte de Rose ! Puis une chose lui vint alors à l’esprit, par rapport aux mots qu’elle venait de dire à Rosalie, « l’odeur d’Emmet sur elle ! » c’était une faille dans son discourt, elle avait tellement essayé de changer de conversation quand à la question d’Alice qu’elle en avait oublié une chose, elle commit alors une deuxième erreur en pensant.

*Je n’ai plus leurs odeurs sur moi !*

Cette fois son regard se dirigea vers Edward, elle savait qu’elle ne pouvait réparer ce qu’elle venait de faire ! Elle n’avait pas tenue longtemps finalement, mais il était si dur de cacher les choses à cette famille, Haby s’assit dans le fauteuil derrière elle, en face d’Edward qu’elle ne regardait plu, Alice à coté de son frère et Rosalie debout à ses cotés, une larme coula alors, mais elle n’était pas pour sa famille, elle était pour les Cullen !

Cela fait si longtemps, comment ai-je pu vous oublier à ce point ? J’ai raté des moments qui devait être formidable pour votre famille, une femme pour Edward et une enfant en ces lieux, je n’aurais jamais du partir, nous n’aurions jamais du partir ! Pardonnez-moi d’être parti !

Elle n’arrivait plus à retenir ses larmes à présent, car elle savait que si Warren n’aurait pas fait partir la famille, que s’ils avaient resté là, sa famille serait encore présente et que surtout elle aurait partagé les nouvelles heureuses de ses amies !

Alors qu’elle était entrain de pleurer sur l’épaule de son ami, elle entendit alors une voix masculine derrière elle, une voix qu’elle connaissait par cœur, se retournant elle vit Emmett son ami de toujours, l’homme qu’elle aimait le plus après Warren, s’il n’y avait pas eut ni Rose ni Warren, Haby aurait épousé Emmett sans attendre. Elle partit de suite en direction des bras de son ami, attendant qu'il écarte les mains pour les retaper l'une dans l'autre et ainsi si glisser, posant ses mains de chaque coté des pectoraux de son ami, la tête juste en dessous du cou, les larmes tombant sur le T-shirt de celui-ci elle était collé à lui, mais si il y avait un endroit ou elle se sentait en sécurité c’était là dans les bras d’Emmett car il ressemblait tellement à son mari qu’elle avait l’impression d’être dans les bras de Warren !

Rose n’avait pas à être jalouse et elle le savait ! Haby avait toujours été ainsi avec Emmett, elle aimait le prendre par le cou, lui sauter dessus et jouer avec lui. Elle aimait croiser son sourire et ses yeux, elle aimait ses bras et être prêt de lui, pourtant pas une seule fois il ne lui viendrait en tête d’aller plus loin avec celui-ci et ils en étaient tous les 4 conscients, Emmett et Haby était plus des jumeaux que des amants ! Elle était la collé à lui puis reprenant sa respiration elle lui dit :

Je comprends ce pourquoi tu veux le faire, mais Emmett cela ne changerait rien, Warren et les enfants son mort et risquer ta vie ni ferait rien, j’ai tué ceux qui étaient venu dans la maison et qui avait tué ma famille, ma vengeance s’arrête là, je suis ensuite venu ici pour voir s’il ne vous avez rien arrivé et je pense rester si cela ne vous embête pas, j’ai racheté notre ancien manoir et je pense y vivre pour ne plus être seule.

Elle se retournait vers les autres pour leurs poser la question

Si cela ne vous embête pas bien sur !